Quelques mots de Paul Guth, romancier et essayiste français…
Jamais je ne dirai assez mon émerveillement devant la peinture de Francis Latreille.
Peinture naïve, oui, mais à part, fantastiquement originale.
Francis Latreille s’est taillé un royaume à lui dans la planète naïve.
Un royaume d’immensité, d’arbres poudrés d’un éternel printemps, de montagnes cabriolantes.
Plus qu’une peinture naïve, Latreille nous offre une explosion de rêve lyrique, d’enfance radieuse, de vergers du Premier Jardin.
Latreille, peintre du Paradis, avant le péché.
Paul GUTH